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NOTRE PROJET

En février 2019 nous souhaiterions aller dans la ville d’Antananarivo, capitale de Madagascar et dans la ville d'Antsirabe, deuxième plus grande ville de Madagascar, pour une durée de trois semaines.

Ce stage a pour but de renforcer nos connaissances et d’être confrontés à de nouvelles approches tant au niveau de la fabrication que de la prise en charge des patients. 

 

Durant cette période de stage, nous travaillerons en collaboration avec le Centre d’Appareillage de Madagascar (CAM) et le Centre de Rééducation Motrice de Madagascar (CRMM). Nous poursuivrons le travail des précédentes promotions de notre école en travaillant en collaboration, cette année pour la première fois, avec le Centre de Rééducation Motrice.

Nous effectuerons donc le suivi des patients déjà appareillés par nos camarades et nous permettrons à de nouveaux patients de bénéficier de notre savoir-faire et de notre matériel.

En effet, nous partirons équipés de matières premières et de pièces détachées nécessaires à la fabrication de certains appareillages.

Sur place, nous serons supervisés par les professionnels du Centre d’Appareillage de Madagascar et du Centre de Rééducation Motrice mais également par nos professeurs.

Ce stage nous permettra donc de renforcer nos connaissances, notre savoir-faire et de renforcer le coté humain de notre métier via des rencontres exceptionnelles.

D'après nos aînés partis les années précédentes, nous savons qu'en 2015, seulement 67 techniciens orthoprothésistes confirmés travaillaient à Madagascar dans les six établissements existants. 

Notons que pour une population de 24 millions d'habitants, on compte 600 000 personnes handicapées

Ils laissent entendre qu'il manquerait du matériel adéquat pour pouvoir contribuer à la fabrication de ces appareils. En attendant notre aide, leur travail est limité par ce manque de matières premières.

On compte 10 amputations par mois sur le territoire malgache à cause du diabète.
 

Seulement 9 patients sur 40 sont appareillés faute de disponibilité de personnel de santé, d'un coût trop élevé, d'un manque important de matières premières et d'un système de santé défaillant.

Quelques chiffres

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